Les dernières activités de Ceyrat Boisséjour Nature
Randonnées au départ de Vernines et du Panoramic des Dômes par Monique Mercredi 18 septembre : C’est la vraie rentrée du mercredi tant nous sommes nombreux à Vernines d’où nous partons vers le Sud par grands et petits chemins pour traverser la Sioule, encore tout près de sa source. Aurières et Vernines sont entre Dômes et Sancy, mais si le premier village est dans une vaste plaine, le second est déjà entouré de buttes : on voit parfois très loin, d’autres fois nous sommes au milieu de ces monticules mais partout, prés et bois sont très verts, les vaches ont encore beaucoup d’herbe ! Nous remontons vers le Nord jusqu’à Ribeyre, dans une succession de montées et descentes peu accentuées mais longues, tantôt à découvert, tantôt en sous-bois. À Ribeyre nous revenons vers l’Est, toute la chaîne des Dômes en face de nous (Le Puy de Dôme a un petit chapeau) et nous rejoignons la Pointésie. Nous traversons le Sioulet, passons devant la Croix Blanche, la Croix des Rodes. Elles nous ramènent à Vernines, gros bourg par rapport aux petits hameaux traversés. C’est un beau circuit par temps idéal, merci Claude. Jeudi 19 septembre : Le temps est magnifique, nous sommes nombreux au dernier parking du Panoramic des Dômes, et d’ailleurs, tous les parkings sont presque pleins ! Mais nous, nous partons à pied, d’abord vers l’ancien péage où nous franchissons la voie à crémaillère du train, puis sur le chemin des Gouris, celui des anciens saisonniers. Il va tout droit vers le Nord jusqu’à l’ancien camp militaire de la Fontaine du Berger. Sur le parcours, le puy de Dôme est tout proche à notre gauche, avec une volée de deltaplanes multicolores, dans le creux de la Bruyère des Moines c’est le Pariou au cratère parfait, et l’on atteint la Fontaine du Berger en alternant les zones à l’ombre et au soleil. Les bâtiments du camp militaire sont fermés, c’était autrefois un camp de manœuvres du 92 ° RI. Nous revenons par un petit chemin puis un autre plus large qui longe le golf des Volcans et en traverse une partie (l’herbe verte est impeccable). Nous retrouvons le chemin des Gouris pour rejoindre les voitures. Merci Bernard pour le bonheur de marcher facilement dans ce lieu superbe… et sacré depuis l’Antiquité ! |
Randonnées au départ de Saint-Nectaire et Argnat par Monique, Marie-Françoise et Marie-Annick
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Randonnées au départ de Lomprat, de Chapdes-Beaufort et de la chapelle St Aubin par Monique, Christine P., Marie-Annick et Christine M.
Jeudi 13 juin : La température se réchauffe enfin et au départ de l’église de Chapdes-Beaufort, nous sommes contents d’arriver dans le bois qui est entre le village et la butte de la Vierge de Beaufort. Au départ du Chemin Fais-Arts, la première sculpture monumentale est faite de pics dressés, mais en montant dans la forêt, les découvertes sont toutes plus surprenantes les unes que les autres : une sorte d’arène, un igloo, des cubes de pierres ajourés, une demie-sphère ajourée elle aussi et dominée par une pierre gravée, un grand salon avec sièges, fauteuils, coussins… un portique sous lequel on descend par un escalier, de drôles de totems, une immense chaîne en demi-cercle où se prépare peut-être un concert pour la fête de la musique (nous supposons !), et en redescendant, un serpent (ou un ressort ?), une sorte d’autel (on aperçoit la Vierge de Beaufort, blanche au-dessus des arbres), des galettes dressées, et enfin un immense bassin circulaire. Chaque sculpture est gigantesque, en lave, et on aimerait en savoir plus, mais même l’atelier du sculpteur (foisonnant !) ne nous renseigne guère ! Mais c’est une petite rando étonnante, pleine de découvertes, merci Claude !
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Randonnée au départ du parking du puy de la Vache par Marie-Annick
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Randonnées au départ de La Goutelle et du château de Montlosier par Monique et Christine M. Mercredi 29 mai : À partir de la Goutelle, nous sommes sur les toutes petites routes des Combrailles jusqu’à Miremont, mais là, le village est avenant : mairie, église, et des personnages grandeur nature qui retracent la vie du XIX ème. Nous les laissons pour remonter le Sioulet rive droite, la rivière est très haute et coule dans une vallée encaissée boisée. Le chemin monte régulièrement, (nous allons vers l’amont), et après le hameau de la Prugne, nous traversons la rivière (nous avons laissé un autre pont près d’un ancien moulin) et grimpons sur le plateau jusqu’à la Jugie. Le paysage s’élargit, au loin les sommets des Dômes sont dans la brume mais la vallée du Sioulet montre bien tous ses reliefs boisés. Au hameau des Planeaux nous reprenons un sentier qui descend vers le creux du Sioulet jusqu’à Miremont. Il fait frais, il y a un peu de vent sur le plateau mais les fleurs de printemps ont déjà cédé la place à celles d’été : marguerites, scabieuses et boutons d’or sont partout, quelle belle randonnée, merci Claude ! Jeudi 30 mai : Devant le château de Montlosier, grand bienfaiteur en ces terres, il y a des groupes d’enfants en sorties scolaires qui vont découvrir les deux volcans égueulés bien caractéristiques des puys de la Vache et de Lassolas. Nous partons aussi joyeusement qu’eux à travers les bois de la Madeleine : la forêt est dense et diversifiée, sa gestion laisse maintenant plus de place à la régénération naturelle et au bois qui se décompose sur place pour abriter oiseaux, rongeurs et insectes. Et puis il y a l’arbre remarquable bien protégé… Mais il y a aussi des clairières : celle où les bois calcinés ont blanchis, celle qui est pleine d’orchis jaunes, et après être passés au pied des deux puys, celle, herbeuse, où paissent parfois de grands troupeaux de moutons. C’est un carrefour de chemins au pied de la pyramide parfaite du puy de Pourcharet, et nous revenons vers le Sud pour retrouver le chemin du château et arriver sous le soleil en ces jours de temps incertain. C’est un circuit forestier toujours aussi beau et vivifiant, merci Bernard ! |
Randonnées au départ du parking du puy des Gouttes et de Queuille par Monique et Gisèle, Marie-Françoise Mercredi 22 mai : Il ne doit pas pleuvoir… et il ne pleuvra pas ! Nous nous retrouvons sur la route de Chanat-la-Mouteyre, en plein centre de la chaîne des Dômes, et prenons d’abord le grand chemin qui passe entre les puys des Gouttes et le puy Chopine d’une part, et le puy de Chaumont d’autre part. Au Nord du puy Chopine, nous allons Nord-Est vers les Bruyères, puis vers le bois du Girardet au Sud : pentes et descentes sont douces, toujours en sous-bois (c’est un trajet pour une fin mai plus chaude, qui serait normale !), mais quand on aborde une clairière, le soleil est là. La forêt est dense, diversifiée, les genêts sont en floraison et la mousse très verte au pied des arbres. Le chemin contourne le puy de Chaumont, qui est maintenant sur notre droite, et après avoir traversé la route de Chanat, une grande piste nous fait longer le Petit Sarcoui et la Croix Mory, avant de revenir au parking. C’est une vraie “promenade en forêt” qui donne de l’énergie, merci Claude. Dimanche 26 mai : En ce jour de fête des mères, nous sommes peu nombreux sur le parking de l’église de Queuille (voir la photo du groupe !). Pourtant même si le ciel n’est pas très lumineux, la température est idéale pour randonner. Nous approchons du belvédère pour admirer ce site immensément incroyable de splendeur du MÉANDRE de QUEUILLE (boucle formée par la rivière sauvage la Sioule). Petite pause photo de notre groupe et nous voilà partis pour une randonnée de 3 heures : traversée de feuillus, remontée sur le plateau de Montfaucon, de Queuillete et de Puy Gilbert. Des genêts couleurs or bordent les chemins ; magnifique point de vue sur le viaduc des Fades qui était le plus haut viaduc ferroviaire de France à l’époque de sa construction et qui reliait Clermont Fd à Montluçon. Des vaches et des veaux de race charolaise paissent dans les prés bien verts et aux multiples fleurs. Des sources jaillissent de partout. Nous apprécions ce paysage des Combrailles où règne le calme. Retour au village de Queuille sous un rayon de soleil. Nous sommes enchantés de cette balade. Merci à Claude. |